Publicité
La bourse ferme dans 5 h 59 min
  • CAC 40

    8 068,49
    +28,13 (+0,35 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 972,78
    +35,93 (+0,73 %)
     
  • Dow Jones

    38 239,98
    +253,58 (+0,67 %)
     
  • EUR/USD

    1,0667
    +0,0010 (+0,10 %)
     
  • Gold future

    2 308,80
    -37,60 (-1,60 %)
     
  • Bitcoin EUR

    62 130,91
    +237,38 (+0,38 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 423,47
    +8,71 (+0,62 %)
     
  • Pétrole WTI

    82,22
    +0,32 (+0,39 %)
     
  • DAX

    17 972,32
    +111,52 (+0,62 %)
     
  • FTSE 100

    8 049,29
    +25,42 (+0,32 %)
     
  • Nasdaq

    15 451,31
    +169,30 (+1,11 %)
     
  • S&P 500

    5 010,60
    +43,37 (+0,87 %)
     
  • Nikkei 225

    37 552,16
    +113,55 (+0,30 %)
     
  • HANG SENG

    16 828,93
    +317,24 (+1,92 %)
     
  • GBP/USD

    1,2361
    +0,0010 (+0,08 %)
     

Airbnb : un amendement contre les sous-locations illégales

Airbnb : un amendement contre les sous-locations illégales

Tout utilisateur d'une plateforme de location saisonnière louant un bien devra prouver qu'il en a l'autorisation, selon un amendement voté jeudi à l'Assemblée. À défaut, il risque jusqu'à un an de prison et 80.000 euros d'amende.

L'étau se resserre autour des plateformes de location courte durée. Alors que la mairie de Paris traque les meublés touristiques illégaux, les députés ont voté jeudi un amendement au projet de loi numérique visant à obliger les propriétaires ou locataires qui louent leur logement de façon ponctuelle sur des sites comme Airbnb à prouver qu'ils en ont l'autorisation.

En effet, lorsque son logement devient vacant de manière temporaire (locataire en vacances par exemple), un propriétaire bailleur peut être tenté de le sous-louer à des touristes afin d'augmenter ses revenus locatifs. Autre cas de figure, un locataire peu scrupuleux peut lui aussi décider de sous-louer le bien qu'il occupe, sans en informer son propriétaire.

C'est donc pour mettre fin à ce type de pratiques que l'amendement a été voté. Le texte précise d'ailleurs que "le loueur du local à usage d'habitation qui le loue pour de courtes durées (...) doit justifier sa qualité de propriétaire dudit local ou, s'il en est locataire, l'autorisation du bailleur auprès des professionnels qui, opérant en ligne, assurent un service de mise en relation en vue de la location d'hébergements".

Jusqu'à 80.000 € d'amende

Et gare aux utilisateurs qui ne respecteront pas la loi. Car en l'absence de justification de la qualité de propriétaire ou de l'autorisation du bailleur, le loueur et les professionnels précités risquent jusqu'à un an de prison et 80.000 euros d'amende, précise l'amendement. Sandrine Mazetier (PS) a défendu le texte : "Il y a des gens qui louent des choses dont ils ne sont pas propriétaires", a-t-elle justifié, obtenant le soutien de la droite.

PUBLICITÉ

Contrairement à la secrétaire d'État au Numérique, Axelle Lemaire, qui s'est en revanche dite défavorable à l'amendement: "Il est à ce (...) Lire la suite sur LaVieImmo

Estimez un bien immobilier en quelques clics
Nestpick, l'Airbnb de la location de longue durée
Meublé touristique : 70 présomptions d'infraction à Paris