Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 205,81
    +1,00 (+0,01 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 083,42
    +1,68 (+0,03 %)
     
  • Dow Jones

    39 807,37
    +47,29 (+0,12 %)
     
  • EUR/USD

    1,0801
    +0,0008 (+0,08 %)
     
  • Gold future

    2 254,80
    +16,40 (+0,73 %)
     
  • Bitcoin EUR

    65 248,05
    -599,35 (-0,91 %)
     
  • CMC Crypto 200

    885,54
    0,00 (0,00 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,11
    -0,06 (-0,07 %)
     
  • DAX

    18 492,49
    +15,40 (+0,08 %)
     
  • FTSE 100

    7 952,62
    +20,64 (+0,26 %)
     
  • Nasdaq

    16 379,46
    -20,06 (-0,12 %)
     
  • S&P 500

    5 254,35
    +5,86 (+0,11 %)
     
  • Nikkei 225

    40 369,44
    +201,37 (+0,50 %)
     
  • HANG SENG

    16 541,42
    +148,58 (+0,91 %)
     
  • GBP/USD

    1,2638
    +0,0016 (+0,13 %)
     

Sur Airbnb, les locataires bruyants ne sont plus à la fête

Gettty / Maskot

La bamboche, c’est terminé ! Le plateforme Airbnb, spécialisé dans la location de logements entre particuliers, vient de mettre en place un nouvel outil qui permet de réduire le risque de fêtes non autorisées. Cette technologie analyse le niveau de risque et bloque automatiquement les demandes de réservation des fêtards. Ce dispositif a déjà été testé à l’échelle mondiale et semble avoir fait ses preuves. Airbnb estime en effet qu’il a permis de réduire le nombre de fêtes de manière significative dans les pays qui ont participé à cet essai pilote.

Alors, comment ça marche ? Un nouvel algorithme analyse les facteurs de risques potentiels de fêtes à l’aide de multiples indicateurs relatifs au compte du voyageur. L’outil passe par exemple au crible les évaluations (absence d’avis positif), la durée du séjour, la date de réservation ou encore la proximité du domicile du voyageur avec le bien qu’il souhaite louer. En analysant ces différents critères, l’algorithme peut déceler un risque élevé de fête, qui aura pour conséquence de bloquer automatiquement la réservation. Par exemple, une demande de réservation d’une personne sans avis positif, qui réserve une maison un samedi soir à quelques kilomètres de son domicile, est considérée comme suspecte. Dans ce cas, la demande sera bloquée automatiquement. Les réservations effectuées sur des dates dites “à risques”, comme le 31 décembre, sont également particulièrement surveillées.

En 2020, le géant de la location saisonnière avait déjà déclaré (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Immobilier : combien vous coûtent vraiment les frais d’agence
Immobilier locatif : les grandes villes les plus rentables pour les investisseurs
Airbnb : comment ce propriétaire a été autorisé à louer son appartement parisien plus de 120 jours par an
Comment le Brexit a dopé les prix des quartiers chics à Paris
Garantie Visale : comment la caution gratuite pourrait être élargie à de nouveaux bénéficiaires