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Airbnb, Drivy, Ouicar... accusés d'avoir recours à des clauses abusives

AFP / Illustration
AFP / Illustration

L’association de consommateurs UFC – Que Choisir épingle huit plateformes collaboratives, accusées d’avoir recours à des clauses abusives.

Entre “frais cachés”, “utilisation des données personnelles des utilisateurs” et “manque de lisibilité”, les conditions générales de huit plateformes collaboratives sont pointées du doigt par l’UFC – Que Choisir.

L’association de consommateurs révèle avoir trouvé 45 “clauses abusives ou illicites” chez Airbnb, 23 sur le site d’Abritel-Homeaway, 22 sur celui de Stootie, 18 chez Ouicar, 16 chez Drivy, 14 chez Eloue, 11 chez Allo Voisins et 10 sur le site de Zilok.

Des “frais cachés”

L’UFC – Que Choisir a ciblé ces plateformes après des “remontées de consommateurs”, a détaillé Cédric Musso, son directeur de l’action politique. L’association met en demeure les huit plateformes de “procéder à d’indispensables modifications” après avoir déniché des clauses révélant des “frais cachés”, “l’utilisation des données personnelles des utilisateurs”, ou encore des “excès juridiques au seul profil des plateformes”.

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La plateforme Airbnb est par exemple pointée du doigt pour ses conditions “souvent illisibles car comprenant de nombreux liens hypertextes, parfois en langue anglaise et regorgeant de notions floues et imprécises”, détaille l’association. Autre grief fait à ces plateformes, il n’y a “pas d’indemnisation du consommateur en cas d’interruption du service par le professionnel”, explique l’UFC.

L’association laisse un mois aux huit plateformes pour modifier leurs conditions générales d’utilisation avant d’envisager une action en justice.

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