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Affaire Nicolas Hulot : la majorité, soupçonnée d'avoir couvert l'ancien ministre, riposte

© Ludovic Marin/AFP

L'enquête préliminaire vient à peine d'être ouverte. Déjà, la politique s'en mêle. Alors que le parquet de Paris a annoncé vendredi se saisir des accusations visant Nicolas Hulot, les oppositions n'ont pas manqué de fustiger l'attitude de l'exécutif. Dans l'émission Envoyé spécial diffusée jeudi, quatre femmes accusent l'ancien ministre de la Transition écologique et solidaire d'agressions sexuelles et d'un viol qui auraient été commis entre 1989 et 2001. Ce que l'ex-animateur d'Ushuaïa conteste. L'existence d'une autre plainte avait été révélée dès 2018, sans que son maintien au gouvernement soit remis en question. Face aux ­attaques, la majorité passe aujourd'hui à la contre-offensive.

D'abord, nier toute connaissance des faits. "A ce stade, aucun courrier adressé au Président ou à Brigitte Macron en 2018 n'a été retrouvé", assure un proche du chef de l'État. Ce qui justifie a posteriori le soutien manifesté à l'époque par des membres du gouvernement à Hulot lorsque le magazine Ebdo, disparu depuis, a dévoilé une plainte pour viol déposée en 2008 (classée sans suite) contre lui. Dont une tribune de la ministre Marlène Schiappa, alors chargée de l'Égalité femmes-hommes, dans le JDD. Elle y assurait avoir confiance en son collègue. "Rétrospectivement, ce n'est pas ce qu'il fallait faire", concède aujourd'hui un cadre de La République en marche (LREM).

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