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Affaire Michel Zecler: Olivier Besancenot y voit une "mini affaire George Floyd"

Olivier Besancenot - BFMTV
Olivier Besancenot - BFMTV

Olivier Besancenot, ancien candidat à l'élection présidentielle et figure de proue du Nouveau Parti Anticapitaliste, était notre invité ce dimanche soir. Interrogé au sujet des violences subies par le producteur Michel Zecler lors de son interpellation par les policiers dans ses studios d'enregistrement à Paris, il les a mises en relation avec l'émotion politique qu'elles ont déclenchée dans le pays: "C’est une mini affaire George Floyd. C’est ça qui a provoqué cette émotion." "Ça permettra peut-être d’avoir enfin ce débat dont on a tous besoin", a-t-il ajouté.

Il a ouvert une piste de réflexion. Il a appelé de ses voeux une "possibilité pour n’importe lequel d’entre nous avoir recours à une institution indépendante en cas de violence policière". Après cette critique en creux de l'Inspection générale de la police nationale, il a pointé: "On ne peut pas être juge et partie."

"Au-delà des forces de l'ordre, il y a toujours des décisions politiques"

Il est revenu sur sa réaction en découvrant les images de la vidéosurveillance lors de l'arrestation de Michel Zecler, remontant au 21 novembre dernier. "J’ai beau être militant et avoir mon idée sur les violences policières, j’ai dû regarder la vidéo plusieurs fois car je peinais à y croire", a-t-il lâché. "Il y a tous ces cas où ça n’a pas été filmé", a-t-il encore affirmé.

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Olivier Besancenot a toutefois souligné qu'il n'entendait pas accabler les seules forces de l'ordre: "Monsieur Darmanin la joue un peu facile. Il allume des mèches et ensuite il sort l’extincteur. L’impunité des forces de l’ordre vient avant tout des décisions politiques. Au-delà des forces de l’ordre, il y a toujours des décisions politiques."

Article original publié sur BFMTV.com