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Affaire Jubillar : nouvelles révélations sur la nuit de sa disparition

Delphine Jubillar, disparue à Cagnac-les-Mines, dans le Tarn, près d'Albi.

Nos confrères du « Parisien » relatent plusieurs éléments à charge rapportés aux enquêteurs à l'encontre du mari de l'infirmière disparue en décembre 2020.

Pour la deuxième fois, la justice a refusé de libérer Cédric Jubillar, principal suspect après la disparition, voici près d'un an, de sa femme, Delphine, infirmière à Albi et mère de leurs deux enfants. Le peintre plaquiste de 34 ans a été écroué en juin, six mois après la disparition de son épouse, dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020. Alors que celui-ci clame toujours son innocence, nos confrères du Parisien révèlent les éléments à charge qui ont poussé la justice à maintenir sa détention.

C'est notamment sur le témoignage précieux d'une voisine que repose une partie de l'enquête. Vivant à environ 150 mètres de la maison des Jubillar, elle explique avoir clairement entendu une femme crier le soir de la disparition de Delphine. « C'était un cri de peur, c'était fort, a-t-elle détaillé aux gendarmes. Ça criait, ça s'arrêtait, et la peur était si importante qu'elle n'avait pas le temps de reprendre son souffle. Ce que je sais, c'est que le cri de cette personne m'a fait très, très peur. » Selon Le Parisien, elle évoque une scène de « cinq à dix minutes » dans laquelle résonnent également des aboiements qui pourraient correspondre aux deux chiens du couple.

Retour vers le futur II au cœur de l'enquête

Comme, à l'époque de l'affaire du petit Grégory, au cours de laquelle Christine Villemin avait en partie été innocentée par Les Grosses Têtes qu'elle écoutait sur RTL au moment de la disparition de son fils, un film diffusé sur TF1 pourrait incriminer Cédric Jubi [...]

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VIDÉO - Disparition de Delphine Jubillar : une voisine décrit "des cris de pleurs" la nuit du drame