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Avec "ADN", Maïwenn continue sa quête d’elle-même

Quand on voit ADN, chronique gentiment névrosée sur la complexité des relations familiales et la quête d’identité qu’elle porte, devant et derrière la caméra, avec son habituelle intensité, on se dit que Maïwenn (Pardonnez-moi, Mon roi) continue de faire sa thérapie sur grand écran. Même si, quand on ose le lui dire en face, l’actrice-scénariste-réalisatrice s’en défend vertement. "Je n’aime pas qu’on qualifie mes films d’autobiographiques, prévient-elle. Je trouve ça terriblement réducteur, car ça revient à nier mon travail d’écriture, de même que celui de toute l’équipe!"

Pour elle, il n’y a pas de films plus ou moins personnels, même si l’artiste en général s’inspire souvent de questionnements intimes. "Certaines choses me sont vraiment arrivées, d’autres sortent de mon imagination et s’appuient sur ce que j’aurais aimé vivre, confie Maïwenn. Disons qu’ADN est 'fantasmographique'! Mais je ne cache pas que j’ai perdu mon grand-père il y a trois ans et que ça m’a dévastée."

Des moments d’une grande drôlerie

Un drame profond qui est venu aggraver les interrogations sur ses origines qui la taraudaient déjà depuis longtemps : d’où vient-elle? Que représente l’Algérie, au quotidien mais aussi dans son cœur? Maïwenn a fini par retourner dans le pays de son aïeul, elle a même passé un test ADN pour savoir quelle part de cette culture coulait dans son sang. "Quand je suis obsédée par un sujet, indique-t-elle, il me hante et m’empêche m...


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