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Acide hyaluronique : pourquoi l’ordonnance en pharmacie ne résout pas du tout le problème

Visoot Uthairam / Getty Images

«Cela ne va rien changer», soupire Muriel Bessis, présidente de l’Association des réussites et des ratés de la médecine esthétique (ARCHES). Depuis le 31 mai, il n’est, sur le papier, plus possible de se procurer facilement des produits d’injection d’acide hyaluronique. Un décret paru au Journal officiel limite en effet leur délivrance aux médecins pour leur usage professionnel ou aux patients sur la présentation d’une prescription médicale en officine. Mais si l’objectif est de venir à bout des injections clandestines qui massacrent les visages, la mesure risque d’être insuffisante.

«Les piqueuses ne les achètent pas en pharmacie, pointe Muriel Bessis. Elles en commandent en Chine ou en Corée par internet». Comme ces «charlatans» offrent leurs services à des prix compétitifs comparé aux chirurgiens et médecins esthétiques formés pendant plusieurs années à l’université, ils «appâtent» facilement leurs clients en quête d’un visage plus jeune. Et ce, malgré la médiatisation, ces dernières années, des dégâts générés par des injections mal réalisées, comme des lèvres surgonflées, voire des têtes complètement défigurées.

«Le problème, c’est que les patients ne savent pas où aller», soulève Lydia Houri, ancienne généraliste qui préside la société française de médecine morphologique et anti-âge (Sofmmaa). Et ce, malgré l’existence d’un diplôme interuniversitaire délivré dans les facultés de médecine en France depuis 20 ans. «La médecine esthétique manque de reconnaissance et de visibilité, (...)

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