Achat immobilier : comment optimiser vos chances d’obtenir un crédit
Le climat politique international instable, la fourniture des matières premières qui peut être aléatoire, la production de constructions neuves à la peine, la Covid qui entrave les visites de biens à vendre… rien ne semble avoir d’emprise sur l’appétence des Français pour l’immobilier ! Portée par la volonté de généralisation du télétravail, la ruée vers l’habitat individuel sur le marché de l’ancien semble se poursuivre – même si elle se stabilise - , et les prix restent globalement orientés à la hausse - soutenue de toute évidence par l’effet de rareté sur l’ensemble du marché immobilier ancien.
Mais une fois "LE" bien trouvé et le compromis de vente ou le contrat de réservation signé, s’engage alors une course contre la montre : le futur acquéreur doit boucler son financement dans les temps impartis, généralement autour de trois mois, avant la signature de l’acte de vente authentique chez le notaire.
Dans ce contexte, les banques sont devenues plus rigoureuses et plus attentives lors de l’étude des dossiers de crédit immobilier. Attitude renforcée par les dispositions prises par le Haut conseil de stabilité financière (HCSF) sur le taux d’endettement des emprunteurs, qui rendent l’accès au crédit plus compliqué, voire impossible, pour de nombreux ménages.
Le montant de l’épargne demandé a fortement progressé et n’est pas le même selon les établissements. Ainsi, au moins 10% du montant du bien est sollicité en apport personnel, et cela peut grimper jusqu’à 20%.
De plus, anticipant (...)
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