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AccorHotels évoque un "trou d'air" après les attentats de Paris

Les attentats qui ont frappé Paris et Saint-Denis le 13 novembre ont un "impact économique réel", selon le PDG d'AccorHotels Sébastien Bazin, qui évoque un "trou d'air" qui pourrait prendre jusqu'à quatre mois pour se résorber. /Photo prise le 28 avril 2015/REUTERS/Benoît Tessier

PARIS (Reuters) - Les attentats qui ont frappé Paris et Saint-Denis le 13 novembre ont un "impact économique réel", a déclaré mercredi le PDG d'AccorHotels Sébastien Bazin, évoquant un "trou d'air" qui pourrait prendre jusqu'à quatre mois pour se résorber.

La fréquentation des hôtels parisiens avait déjà chuté après les attentats de janvier mais les professionnels du secteur de l'hôtellerie et du luxe craignent cette fois un mouvement plus massif compte tenu de l'ampleur des attaques perpétrées dans la capitale.

"Il y a un impact économique réel depuis les attentats. Dans les 15 jours qui suivent les attentats, l'impact est réel, notamment à Paris et en Ile-de-France", a déclaré Sébastien Bazin sur les ondes de BFM Business, sans communiquer de chiffre sur le taux d'occupation des hôtels.

Si la tenue de la COP21 à Paris permet actuellement de soutenir la fréquentation, le groupe hôtelier constate une baisse des réservations de dernière minute pour la deuxième quinzaine de décembre qui sont "peu nombreuses" par rapport à l'an dernier, a expliqué le PDG.

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Sébastien Bazin a appelé à un vaste effort de pédagogie en vue de faire revenir les touristes à Paris, tout en estimant qu'il faudrait du temps pour revenir à la normale.

"C'est un trou d'air, cela va se résorber à condition que la sécurité soit bien assurée par les pouvoirs publics. Trois à quatre mois, probablement", a-t-i dit.

(Gwénaëlle Barzic, édité par Véronique Tison)