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Accord céréalier : la Turquie opposée aux « alternatives », Vladimir Poutine « ouvert » aux discussions

Murat Cetinmuhurdar/PPO/Handout via REUTERS

C’était une rencontre très attendue. Deux mois après le retrait de la Russie sur l’accord céréalier, qui permettait à l’Ukraine (l’un des principaux producteurs mondiaux de céréales) de continuer à exporter ses produits agricoles, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, était attendu à Sotchi pour des « pourparlers » avec le Kremlin. Pourquoi ? Parce que cet accord céréalier avait été signé en juillet 2022 à Istanbul grâce à la médiation de la Turquie. Il avait d’ailleurs été prolongé le 19 mars pour une durée de soixante jours supplémentaires. Le 17 juillet, la Russie l’avait déclaré « de facto terminé », ajoutant qu’elle ne garantirait pas la sécurité des navires dans la zone. Pourtant, l’accord est crucial pour la sécurité alimentaire mondiale.

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Le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, avait même déploré que « des centaines de millions de personnes soient confrontées à la faim et les consommateurs font face à une crise mondiale du coût de la vie ». Il avait ajouté : « Ils en paieront le prix. » C’est dans ce contexte que s’est tenue l’entrevue entre Vladimir Poutine et Recep Tayyip Erdogan ce lundi à Sotchi, rapporte l’AFP. Le président turc réélu a d’ailleurs promis de « nouvelles propositions » pour ressusciter l'accord sous l’égide de l’ONU. En revanche, Recep Tayyip Erdogan a posé ses conditions : « Les propositions alternatives portées ...


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