Publicité
Marchés français ouverture 7 h 44 min
  • Dow Jones

    37 775,38
    +22,07 (+0,06 %)
     
  • Nasdaq

    15 601,50
    -81,87 (-0,52 %)
     
  • Nikkei 225

    38 079,70
    +117,90 (+0,31 %)
     
  • EUR/USD

    1,0644
    -0,0002 (-0,02 %)
     
  • HANG SENG

    16 385,87
    +134,03 (+0,82 %)
     
  • Bitcoin EUR

    59 808,79
    +1 878,92 (+3,24 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 312,58
    +427,04 (+48,23 %)
     
  • S&P 500

    5 011,12
    -11,09 (-0,22 %)
     

Accointances. La Hongrie, un modèle d’inspiration pour l’extrême droite française

Un mois après les visites d’Éric Zemmour et de Marion Maréchal en Hongrie, la présidente du Rassemblement national et candidate à la présidentielle 2022, Marine Le Pen, rencontre ce mardi 26 octobre le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán. Ce déplacement confirme l’influence du leader danubien, estime le quotidien conservateur Magyar Hírlap.

Marine Le Pen attendait cela depuis longtemps. Ce mardi 26 octobre, la présidente du Rassemblement national, candidate à l’élection présidentielle française de 2022, rencontre Viktor Orbán à Budapest, comme Éric Zemmour et Marion Maréchal fin septembre en marge d’un sommet international sur la démographie.

À lire aussi: Conservatisme. À Budapest, un sommet sur la famille avec Éric Zemmour, Marion Maréchal et Mike Pence

Saluant la venue de Marine Le Pen, le quotidien conservateur Magyar Hírlap affirme que “si un(e) politicien (ne) français(e) souhaite conquérir la présidence, surtout après deux mandats sans chef d’État de droite, il (ou elle) doit se déplacer à Budapest pour recevoir un ou deux bons conseils”, à l’instar du polémiste toujours candidat non déclaré ou de Marion Maréchal, qui se sont rendus en Hongrie le mois dernier.

PUBLICITÉ

Selon l’autrice, les “populaires” Éric Zemmour et Marine Le Pen “placent le contrôle de l’immigration et les problèmes d’intégration” au cœur de leur discours “alors que l’ensemble de la classe politique esquive la thématique ou propose de fausses solutions”. Ces sujets doivent être évoqués, souligne le journal, surtout dans une France où les banlieues sont “devenues hors-la-loi” et face au risque “ambiant” de terrorisme, sans omettre la question du pouvoir d’achat, “principale préoccupation des Français avec l’immigration et la sécurité”.

Alliance

[...] Lire la suite sur Courrier international

À lire aussi :