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Accès aux soins : la grande consultation de Macron n'emballe pas les médecins généralistes

Sauter le diagnostic, passer directement au traitement. "On n'a pas besoin d'une nouvelle grand messe (ni) d'une grande loi de santé", a déclaré ce jeudi 28 avril Jacques Battistoni, président de MG France, lors d'une conférence de presse. Une réaction peu enthousiaste à la large "conférence des parties prenantes" inscrite au programme du chef de l'Etat, qui entend associer soignants, mais aussi usagers et élus locaux aux décisions sur "l'accès aux soins". Durant la campagne présidentielle, Emmanuel Macron a volontairement peu détaillé son programme en matière de santé, préférant concerter les principaux concernés avant de proposer des solutions.

Pas question de "refaire des états généraux de la santé et passer des mois à interroger les uns et les autres", a prévenu Jacques Battistoni, car "on l'a déjà fait de nombreuses fois, on sait grosso modo ce qu'il faut faire". Assistants médicaux, infirmiers en pratique avancée, aides financières... "OK s'il s'agit d'affiner la boîte à outils, mais par pitié ne reprenons pas tout une nouvelle fois", a-t-il insisté.

Le chef de file des généralistes entend ainsi éviter des sujets conflictuels évoqués dans le programme présidentiel, comme la "participation plus large aux gardes" le soir et le weekend, qui laisse présager un retour de l'obligation supprimée il y a vingt ans. "Le vrai problème n'est pas de trouver un médecin de garde, mais de trouver un médecin dans la journée", a-t-il rétorqué, souhaitant plutôt voir aboutir le projet de service (...)

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