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« Abandonnés », « invisibilisés », « en détresse psychologique et financière »… Les étudiants manifestent

Ce mercredi, les étudiants se sont rassemblés dans plusieurs villes de France pour exprimer leur désarroi face à l’inaction du gouvernement pour les aider à traverser la crise sanitaire. « ELLE » est allé à leur rencontre au départ de Port-Royal à Paris.

Laissés de côté, les étudiants ont décidé de faire entendre leurs voix. Privés depuis plusieurs mois de cours en présentiel en raison de la pandémie du coronavirus, et alors que seulement une infime partie d’entre eux pourra reprendre les cours à la fin de janvier, plusieurs organisations politiques et syndicales ont appelé les étudiants à se rassembler partout en France ce mercredi. À Paris, devant le Crous du 5e arrondissement, certains sont venus avec des pancartes pour exprimer leur lassitude. Les avis sont unanimes : il est temps de prendre la mesure de la situation et de réagir.

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Sonia, 18 ans, étudiante en lettres

« Je viens à la manifestation aujourd’hui car la situation devient extrêmement difficile à vivre. L’ensemble de nos cours se passent en ligne depuis maintenant plusieurs mois. C’est compliqué de rester concentré devant son ordinateur plus de deux heures. Chez moi, je suis facilement distraite. À cela, s’ajoutent des mesures administratives qui changent tous les quinze jours. On a aucune perspective sur la suite de notre année et psychologiquement, l’ensemble de ces facteurs ont une incidence sur ma santé mentale. Au fil des semaines, j’ai commencé à décrocher. Aujourd’hui, je suis en échec scolaire. Je me disais que je pourrais me ressaisir au second semestre car j’espérais que les cours en présentiel pourraient reprendre, ne serait-ce qu’un jour ou deux. Ce que je souhaite, c’est que le...

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