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Abandon de poste : l’Assemblée nationale valide la fin des indemnités chômage

.shock/Adobe Stock

Bientôt la fin des indemnités chômage pour certains salariés ? Dans le cadre de l’examen à l’Assemblée nationale du projet de loi “portant mesures d’urgence relatives au fonctionnement du marché du travail en vue du plein emploi”, ce mercredi 5 octobre, les députés ont voté la fin du versement des indemnités chômage en cas d’abandon de poste d’un salarié. Cette mesure a été prévue par une série d’amendements identiques, portés par des députés Renaissance, MoDem, Horizons et Les Républicains (LR).

Dans le détail, ces textes prévoient d’instaurer une “présomption de démission du salarié quand ce dernier quitte son poste volontairement”. Celle-ci serait conditionnée à une mise en demeure préalable de l’employeur à son salarié de reprendre son poste de travail. Actuellement, en cas d’abandon de poste, un salarié n’est pas considéré comme démissionnaire. Or sauf cas exceptionnels, la démission, qui est considérée comme une privation volontaire d’emploi, n’ouvre pas droit à la perception d’allocations chômage. L’abandon de poste, à l’inverse, permet à un salarié d’être indemnisé par Pôle emploi dans la plupart des cas.

En effet, l’abandon de poste est considéré comme une absence injustifiée d’un salarié. Dans ce cadre, ce dernier dispose de 48 heures pour avertir son employeur de son absence et la justifier. Après ce délai, l’entreprise peut adresser une lettre de mise en demeure pour demander au salarié de justifier son absence et de reprendre son poste dans les plus brefs délais. S’il (...)

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