Publicité
La bourse ferme dans 5 h 49 min
  • CAC 40

    8 247,09
    +42,28 (+0,52 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 100,71
    +18,97 (+0,37 %)
     
  • Dow Jones

    39 760,08
    +477,75 (+1,22 %)
     
  • EUR/USD

    1,0793
    -0,0036 (-0,33 %)
     
  • Gold future

    2 226,00
    +13,30 (+0,60 %)
     
  • Bitcoin EUR

    65 243,50
    +237,39 (+0,37 %)
     
  • CMC Crypto 200

    885,54
    0,00 (0,00 %)
     
  • Pétrole WTI

    82,08
    +0,73 (+0,90 %)
     
  • DAX

    18 494,70
    +17,61 (+0,10 %)
     
  • FTSE 100

    7 956,64
    +24,66 (+0,31 %)
     
  • Nasdaq

    16 399,52
    +83,82 (+0,51 %)
     
  • S&P 500

    5 248,49
    +44,91 (+0,86 %)
     
  • Nikkei 225

    40 168,07
    -594,66 (-1,46 %)
     
  • HANG SENG

    16 541,42
    +148,58 (+0,91 %)
     
  • GBP/USD

    1,2616
    -0,0022 (-0,17 %)
     

40 ans après, une femme née d'un viol obtient la condamnation de son géniteur

En Angleterre, un homme de 74 ans a été reconnu coupable d'un viol commis dans les années 1970 sur une mineure de 13 ans. Il a été condamné à une peine de 11 ans de prison.

C’est une décision exceptionnelle. La justice britannique a condamné mardi un homme de 74 ans pour le viol d'une mineure commis il y a plus de 40 ans, grâce à la « détermination » de sa fille biologique née de ce crime, qui a fourni son ADN. Carvell Bennett, 74 ans, a été reconnu coupable par un tribunal de Birmingham, au centre de l'Angleterre, d'un viol commis dans les années 1970 sur une mineure de 13 ans et a été condamné à une peine de 11 ans de prison.

Lire aussi >> Le prix du viol : le terrible parcours de l'indemnisation

Cette décision a été rendue possible par « l'acharnement et la détermination » de l'enfant née de ce crime, qui a « cherché à obtenir justice dans cette affaire pour elle-même et pour sa mère », a souligné le juge Martin Hurst.

PUBLICITÉ

Après le viol, la victime est tombée enceinte et avait accouché à 14 ans d'une petite fille, qu'elle avait fait adopter. L'enfant désormais adulte, qui ne peut être identifiée pour protéger l'identité de sa mère, n'a découvert la vérité sur sa conception que lorsqu'elle a pu consulter son dossier d'adoption à 18 ans.

« Traumatisme intergénérationnel »

Une découverte « terrifiante », a-t-elle confié au tribunal, se désolant d'être « l'incarnation de l'une des pires choses qui peut arriver à quelqu'un ».

« Mise sous le tapis » par les autorités au moment de l'infraction, selon le juge, l'affaire n'a été relancée qu'après que la fille de la victime a fait campagne...

Lire la suite de l'article sur Elle.fr

A lire aussi