4 180 euros pour une piscine, 2 400 euros pour du crépi… ces vacanciers piégés après leur location
Des vacances de rêve qui tournent à la catastrophe. En rentrant d’un week-end idyllique entre amis dans une villa située en Corse, Emmanuelle a eu une très mauvaise surprise. Interrogée par TF1, elle raconte que la propriétaire lui a réclamé des sommes faramineuses pour des prétendus dégâts causés dans le logement. «Elle nous a demandé 2 400 euros de dédommagement. […] On avait l'impression qu'elle voulait avoir un peu d'argent, on s'est senti piégés», raconte celle qui assure n’avoir «pas fait de fête» dans la luxueuse maison.
Pour se défendre, Emmanuelle a contacté Airbnb avec une preuve à l’appui : une vidéo de la résidence prise lors de leur arrivée. La plateforme a donc abandonné les poursuites, constatant que les dégâts avaient été causés avant leur passage. Soulagée, la jeune femme regrette que, sans ces images, elle n’aurait jamais pu prouver que «les dommages qui avaient été constatés par l’hôte n’étaient pas de nous».
D’autres vacanciers témoignent de leur mésaventure sur les réseaux sociaux. Il est alors question de montants pouvant aller de 300 euros pour un tiroir taché par du gel douche, à 4 180 euros pour un liner de piscine percé et un balai tordu, précise la chaîne. Pour trancher, Airbnb examine chaque litige au cas par cas «pour trouver une solution claire, juste et proportionnée». La démocratisation des boîtes à clé a fait disparaître les états des lieux, à l’entrée et à la sortie, et donc rendu plus réguliers ce type de conflit. Et même si les locataires ne (...)
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