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"2015 : Un printemps du logement pour les institutionnels ?"

"2015 : Un printemps du logement pour les institutionnels ?"

Les « zinzins » sont-ils en train de revenir ? Pour Vincent Mahé, secrétaire général du groupe SNI, filiale de la Caisse des dépôts (CDC), un « regain d'intérêt » des investisseurs pour la pierre est en tout cas en cours.

« Une partie des investisseurs institutionnels retrouve le chemin de l’immobilier résidentiel. C’est un regain d’intérêt, presque un retour en grâce.

Une capacité d’investissement de 1,2 milliard d’euros

En dix ans, la part du logement dans le portefeuille des investisseurs institutionnels est tombée à environ 10 % des actifs immobiliers et moins de 1 % du total. On connaît les raisons qui ont conduit à ce retrait : des prix perçus comme élevés ; le poids des nouvelles normes de solvabilité (« Solvency ») ; un sentiment d’incertitude réglementaire que les débats de la loi Alur ont exacerbé ; les risques d’image liés aux contentieux avec les occupants et, plus généralement, le coût d’une gestion locative très atomisée.

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Ce paysage morose est-il en train de changer ? Quatre facteurs au moins contribuent à faire bouger les lignes.

Le premier est purement conjoncturel. Avec la baisse des taux d’intérêt, les institutionnels doivent chercher une alternative peu risquée à la dette d’Etat. Dans ce contexte, le logement affiche un bon équilibre entre rendement et risque, avec une prime de l’ordre de 2 % sur les emprunts d’Etat, des taux de vacance faibles dans les grandes villes, une performance résiliente quelle que soit la situation économique.

La vraie raison d’investir dans le résidentiel est plus structurelle. Elle découle directement de la démographie, plus importante pour le logement que les variations du cycle d’activité. Les grandes villes françaises affichent le taux de croissance le plus fort d’Europe, sous la poussée de trois facteurs : une progression démographique un peu plus dynamique que dans les autres pays, des tendances sociales (liées aux divorces et à la décohabitation) qui multiplient le nombre de ménages à (...)

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