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10 polices européennes rêveraient d'un fichier unique pour la reconnaissance faciale

10 polices européennes rêveraient d'un fichier unique pour la reconnaissance faciale

Les opposants à un tel projet s'inquiète de l'accès à des données faciales par des régimes autoritaires qui pourraient détourner leur utilisation à des fins de surveillance d'opposants politiques et non pour les seules enquêtes policières. C'est déjà le cas en Chine. Ces discussions auraient eu lieu dans le cadre de l'extension du traité de Prüm, qui permet des recherches communes et de comparer des empreintes, de l'ADN et des plaques d'immatriculation dans d’autres pays.

A lire aussi — Alexandria Ocasio-Cortez alerte sur la reconnaissance faciale : 'On se croirait dans un épisode de Black Mirror'

L'autre chiffon rouge agité par les détracteurs concerne le rôle et l'intérêt des Etats-Unis pour des données que le pays pourrait fusionner avec celles qu'il possède déjà. Selon eux, un tel réseau pan-européen serait relié à des données américaines, "créant ainsi ce que les chercheurs en matière de protection de la vie privée appellent une consolidation transatlantique massive des données biométriques", écrit The Intercept. Des accords bilatéraux existent déjà entre les Etats-Unis et plusieurs pays dont la France — avec le système ESTA qui permet de voyager sur place sans Visa — pour accéder à des données biométriques. Mais ces échanges sont encadrés et limités.

'La possibilité d'identifier presque n'importe qui, n'importe où'

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Le rapport autrichien considérerait la reconnaissance faciale comme un outil biométrique "très approprié" pour l'identification de suspects inconnus et suggère que les bases de données soient créées et reliées "aussi rapidement que possible"."Leur logique est la suivante : lorsque je fais face un crime grave et que je veux comparer la photo de quelqu'un avec une base de données, pourquoi ne pas l'avoir ?" s'interroge dans l'article Neema Singh Guliani, conseillère législative à l'Union américaine des libertés civiles, avant de pointer du doigt les conséquences pour la vie privée. "Une fois que vous avez l'accès, vous avez finalement la possibilité d'identifier

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