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"Sans patrons, les salariés plus libres... et plus efficaces?"

Moins de chefs, donc plus de bonheur dans l'entreprise: c'est l'équation gagnante du management participatif. Des entreprises ont déjà supprimé la bureaucratie hiérarchique et témoignent. Une vidéo présentée par Sparknews.

Comment libérer les salariés de la "bureaucratie hiérarchique"? C'est la question posée par le professeur Isaac Getz (ESCP Europe) et le rédacteur Brian M. Carney du Wall Street Journal, dans le livre Liberté & Cie: Quand la liberté des salariés fait le bonheur des entreprises.

Les principales caractéristiques de ce management plus participatif sont simples. Il s'agit de mettre fin aux symboles et aux privilèges -en terme de restauration, de bureaux, de parking- pour instaurer un sentiment d'égalité entre les salariés; de faire confiance aux salariés, les responsabiliser plus que les contrôler -en supprimant les pointeuses ou en laissant le matériel en libre service par exemple.

Il est aussi nécessaire d'avoir une démarche de bottom up, c'est-à-dire commencer par remonter les suggestions d'amélioration des salariés jusqu'à, à terme, mettre en place un environnement qui leur permette de s'autodiriger. L'idéal étant que si, dans l'entreprise, un salarié a la solution à un problème, il l'applique naturellement, sans attendre ni autorisation, ni récompense.

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Favi, une fonderie de 600 salariés, basée dans le nord de la France, est une de ces entreprises dite "libérée". L'entreprise fonctionne par mini-usine chacune avec son expertise, son client et ses problématiques. Les chefs de ces mini-usines sont nommés par cooptation. "La confiance coûte beaucoup moins cher que le contrôle", souligne son dirigeant, Jean-François Zobrist. Et les résultats sont là: l'entreprise, leader sur le marché des fourchettes de boîte de vitesse, ne semble pas connaître la crise de l'industrie automobile. Retrouvez cet article sur lexpress.fr

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