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États-Unis. Ces femmes qui bousculent l’ordre établi au Parti républicain

En janvier prochain, le Congrès américain accueillera un nombre record d’élues du Parti républicain. Le Washington Examiner y voit une aubaine pour une formation politique qui a cultivé une réputation “de parti des hommes blancs”.

Pour le Washington Examiner, 2020 restera comme “l’année de la femme républicaine”. Le scrutin de novembre a en effet été “historique” pour les femmes du Parti républicain, dont le nombre a doublé à la Chambre des représentants, souligne l’hebdomadaire conservateur. Alors que certains résultats se font encore attendre, au moins 36 femmes républicaines siégeront au Congrès américain en janvier, ce qui constitue “un record”.

Les nouvelles élues du GOP (pour Grand Old Party, surnom donné à la formation politique) sont plus diverses “que ce que l’on pourrait attendre d’un GOP qui a cultivé sa réputation de parti des hommes blancs”, observe le Washington Examiner.

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Le magazine cite notamment le cas de Kat Cammack, qui “incarnera le rêve américain” en siégeant en tant que députée du 3e district de Floride, alors qu’“il y a neuf ans à peine, elle s’était retrouvée sans domicile”. Yvette Herrell, nouvelle députée du Nouveau-Mexique et membre de la nation cherokee, sera la première Amérindienne républicaine. L’hebdomadaire cite aussi le cas de la future députée de Floride Maria Elvira Salazar, une Cubano-Américaine de Miami “qui s’est présentée avec un programme antisocialiste”.

Un problème pour les démocrates

Certaines de ces élues, comme la députée du Minnesota Michelle Fischbach, ont réussi lors des primaires

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