Publicité
La bourse est fermée
  • Dow Jones

    38 460,92
    -42,77 (-0,11 %)
     
  • Nasdaq

    15 712,75
    +16,11 (+0,10 %)
     
  • Nikkei 225

    38 460,08
    +907,92 (+2,42 %)
     
  • EUR/USD

    1,0701
    -0,0003 (-0,03 %)
     
  • HANG SENG

    17 201,27
    +372,34 (+2,21 %)
     
  • Bitcoin EUR

    59 756,05
    -2 186,43 (-3,53 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 383,93
    -40,17 (-2,82 %)
     
  • S&P 500

    5 071,63
    +1,08 (+0,02 %)
     

Les États-Unis annoncent avoir tué un dirigeant d'Al-Qaïda en Syrie

L'armée américaine a souligné qu'il n'y avait "aucun signe de victimes civiles" à la suite de la frappe, menée dans le nord-ouest de la Syrie.

L'armée américaine a annoncé ce vendredi avoir tué un dirigeant d'Al-Qaïda dans une frappe de drone en Syrie, deux jours après l'attaque contre une base du sud syrien utilisée par la coalition antijihadiste menée par les États-Unis.

La frappe a été menée dans la région de Soulouk, dans le nord de la Syrie sous contrôle turc. "Nous n'avons constaté aucun signe de victimes civiles à la suite de la frappe, qui a été menée par un drone MQ-9", a-t-il précisé en référence au drone armé surnommé "Reaper" ("la faucheuse" en anglais).

PUBLICITÉ

Le porte-parole n'a pas précisé si la frappe avait été menée en représailles après l'attaque de mercredi contre la base d'al-Tanf, utilisée par la coalition antijihadiste près des frontières syriennes avec la Jordanie et l'Irak, qui n'a pas fait de victime.

La Syrie, "base de repli" d'Al-Qaïda

Selon Centcom, cette attaque "délibérée et coordonnée" avait été menée avec des drones et des tirs d'artillerie.

"Al-Qaïda continue de représenter une menace pour les États-Unis et nos alliés", a-t-il simplement indiqué. Le groupe "utilise la Syrie comme une base de repli pour se reconstituer, se coordonner avec ses affiliés et planifier des opérations à l'étranger".

"L'élimination de ce haut dirigeant d'Al-Qaïda affectera la capacité de l'organisation terroriste à planifier et mener des attentats contre des citoyens américains, nos partenaires et des civils innocents", a-t-il ajouté.

Un autre "haut dirigeant d'Al-Qaïda" éliminé fin septembre

Le Pentagone avait éliminé fin septembre un autre "haut dirigeant d'Al-Qaïda" en Syrie, Salim Abou-Ahmad, lors d'une frappe aérienne près d'Idleb, dans le nord-ouest du pays.

Il était "responsable de la planification, du financement et de l'approbation d'attentats trans-régionaux" perpétrés par l'organisation jihadiste, selon Centcom.

Quelque 900 soldats américains restent déployés dans le nord-est syrien, où ils continuent de coopérer avec les Forces démocratiques syriennes (FDS), et sur la base d'al-Tanf dans le sud, aux confins de l'Irak et la Jordanie.

Article original publié sur BFMTV.com

VIDÉO - Taliban : la relation avec Al Qaida, le TTP et la menace de l'EI