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À la une de l’hebdo. États-Unis : l’élection de tous les dangers

Chaque semaine, Courrier international explique ses choix éditoriaux et les débats qu’ils suscitent parfois dans la rédaction. Cette semaine, nous lançons notre compte à rebours en vue de la présidentielle aux États-Unis, le mardi 3 novembre. Un cauchemar électoral pour la presse américaine. Jamais le pays n’a paru si divisé et l’issue du vote, si incertaine.

Cinq cent mille personnes évacuées, au moins 20 morts, 930000 hectares de forêt partis en fumée (faisant de 2020 la pire année depuis que des statistiques ont commencé à être compilées, en 1932), les incendies gigantesques qui ravagent la Californie depuis plusieurs semaines semblent à l’image de la campagne pour la présidentielle américaine du 3 novembre : dévastateurs et incontrôlables. Et ce n’est pas un Donald Trump qui calmera le jeu : bien au contraire. “Ça finira par se refroidir”, a tranquillement expliqué le président américain à Sacramento le 14 septembre. Son adversaire démocrate, Joe Biden, l’a aussitôt qualifié de “pyromane du climat”. Et pyromane, Donald Trump l’est assurément. C’est tout le problème de l’Amérique aujourd’hui.

À lire aussi: Présidentielle américaine. Une convention républicaine à la gloire de Trump

Donald Trump n’a pas cessé, depuis son élection en 2016, d’attiser les divisions entre ses concitoyens, au point que l’Amérique semble irréconciliable. “Il s’est mis à détruire ce qu’il restait de la vie civique. Il n’a jamais prétendu être le président de tout le pays et nous a dressés les uns contre les autres en fonction de notre race, notre religion, notre sexe, notre éducation”, déplorait en mai dans The Atlantic le journaliste et essayiste George Packer.

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