Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 022,41
    -0,85 (-0,01 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 918,09
    -18,48 (-0,37 %)
     
  • Dow Jones

    37 846,43
    +71,05 (+0,19 %)
     
  • EUR/USD

    1,0648
    +0,0002 (+0,02 %)
     
  • Gold future

    2 406,90
    +8,90 (+0,37 %)
     
  • Bitcoin EUR

    59 856,88
    -40,36 (-0,07 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 370,23
    +57,61 (+4,38 %)
     
  • Pétrole WTI

    82,93
    +0,20 (+0,24 %)
     
  • DAX

    17 737,36
    -100,04 (-0,56 %)
     
  • FTSE 100

    7 895,85
    +18,80 (+0,24 %)
     
  • Nasdaq

    15 320,09
    -281,41 (-1,80 %)
     
  • S&P 500

    4 968,64
    -42,48 (-0,85 %)
     
  • Nikkei 225

    37 068,35
    -1 011,35 (-2,66 %)
     
  • HANG SENG

    16 224,14
    -161,73 (-0,99 %)
     
  • GBP/USD

    1,2380
    -0,0058 (-0,47 %)
     

Économie. Le G7 fait front commun pour contrer la nouvelle “Route de la soie” chinoise

Les membres du G7 réunis en sommet en Angleterre se sont entendus samedi 12 juin pour proposer aux pays en développement un vaste programme en faveur de leurs infrastructures afin de contrer l’influence grandissante de la Chine. Si tous sont d’accord sur le fond du problème, certains pays redoutent de s’attirer l’hostilité de Pékin.

“C’est la première fois que les pays les plus riches du monde discutent de la création d’une alternative directe au projet chinois de nouvelle ‘Route de la soie”’, note le New York Times.

Réunis samedi en sommet en Cornouailles, les membres du G7 se sont entendus pour proposer aux pays en développement un vaste programme en faveur de leurs infrastructures afin de contrer l’influence grandissante de la Chine à travers le monde.

À lire aussi: Cartographie. Avec les nouvelles routes de la soie, la Chine tisse une toile mondiale

PUBLICITÉ

Lancé par le président chinois Xi Jinping en 2013, le projet de nouvelle “Route de la soie” consiste à financer des investissements et des projets de développement de l’Asie à l’Europe et jusqu’en Afrique. Dans ce cadre, plus de 100 pays ont déjà signé des accords avec Pékin pour développer des liaisons ferroviaires, des ports, des autoroutes ou d’autres types d’infrastructures. Mais les projets chinois sont notamment accusés d’endetter lourdement les pays en développement ce qui les paralyse et les laisse politiquement redevables à la Chine, note The Guardian.

“La contestation de l’hégémonie chinoise, pièce maîtresse de la politique étrangère” de Biden

Le contre-projet du G7 baptisé “Build Back Better World” (B3W) doit lui permettre de conclure des partenariats transparents en matière d’infrastructures pour combler d’ici 2035 des besoins estimés à 40 000 milliards de dollars dans les pays à revenus faibles et intermédiaires. Il a été présenté à l’

[...] Lire la suite sur Courrier international

À lire aussi :