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À 86 ans, elle mentait pour toucher des prestations sociales

Le tribunal pénal de Lucerne, en Suisse, vient de condamner pour escroquerie multiple une Italienne de 86 ans, rapporte la version helvétique de 20 Minutes. Elle était accusée d'avoir floué la caisse de compensation locale. Entre mai 2012 et mars 2019, l'octogénaire aurait perçu indûment des prestations complémentaires, à hauteur de 126.000 francs suisses, soit 121.600 euros.

Depuis le décès de son mari, en 2011, elle aurait omis de déclarer les biens immobiliers qu'elle possédait en Italie, dans le formulaire de demande de prestations. L'Italienne avait indiqué ne détenir "aucune propriété et aucun revenu immobiliers". Sauf qu'en réalité, ses biens seraient évalués à 200.000 francs suisses, soit un peu plus de 193.000 euros.

Pourtant, pendant toutes ces années, l'octogénaire aurait reçu à onze reprises un document lui rappelant "l'obligation de déclarer tout changement de situation personnelle ou économique", affirme le tribunal dans son compte rendu d'audience, relayé par 20 Minutes. Son silence lui aurait ainsi permis de toucher 1.777 francs suisses (1.715 euros) par mois de prestations complémentaires. Pour son omission, le tribunal pénal de Lucerne l'a condamnée à un an de prison avec sursis ainsi qu'à une expulsion du pays pendant cinq ans.

En France, les contrôles de la Direction générale des finances publiques (DGFiP) ont repris de plus belle, alors que la crise sanitaire semble derrière nous. Et la chasse aux fraudeurs s'est révélée plus que fructueuse en 2021, puisque (...)

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